Terre des hommes Suisse a mis son premier « e-dialogueur » en service sur Facebook, il s’appelle « Roboterre ».
Baldwin Bakker, directeur de Corris AG, commente : « L’idée d’un dialogueur de recherche de fonds digital pour les services de sites web et de chats est née dans le cadre d’un séminaire d’innovation fin 2016. » Terre des hommes Suisse, mandataire de longue date de Corris, était disposé à tester un e-dialogueur dans le cadre d’un projet pilote. Roboterre discute avec les visiteurs de la fan page Facebook de Terre des hommes Suisse et offre la possibilité d’en savoir plus au sujet de cette organisation à but non lucratif. L’e-dialogueur permet également d’effectuer un don. Roboterre représente le premier pas vers un service aux donateurs proposé 24h sur 24. Pour le moment, le système reconnaît des structures de phrases simples en allemand et il y répond par des phrases formulées à l’avance.
L’e-Dialoger permet une prise de contact durable
Baldwin Bakker explique : « Roboterre ne représente pas encore un substitut à un entretien avec un dialogueur en chair et en os. Mais toute personne qui discute avec lui sur le chat Facebook peut ensuite être contactée, par exemple par un téléphoniste. Il est également possible d’envoyer ensuite des messages push à cette personne. » Les gens ouverts à ce genre de premiers entretiens seront ensuite plus susceptibles de s’abonner à une newsletter ou d’effectuer un don par téléphone. Baldwin Bakker ajoute : « Sur demande de nos clients, nous n’installons pas seulement des e-dialogueurs, mais nous prenons également en charge les chats de dons sur leurs sites internet. Lorsque le robot a atteint ses limites, nos téléphonistes en chair et en os interviennent. » Corris développera avec joie son prototype Roboterre sur demande de ses clients.
Filip Zirin, responsable web et médias sociaux chez Terre des hommes Suisse, remarque : « Nous sommes très heureux d’avoir pu mettre ce projet en œuvre avec Corris et l’agence Spark. La résolution automatisée de demandes clients simples est une tendance que le domaine du non lucratif ne doit pas laisser passer. De tels systèmes représentent une chance de libérer les ressources nécessaires pour se consacrer plus spécifiquement aux demandes clients plus complexes. »